
Après Rabat et Casablanca (Maroc, 1989), Paris (France, 1994), Antananarivo (Madagascar, 1997), Ottawa et Hull (Canada, Canada-Québec, 2001), Niamey (Niger, 2005), Beyrouth (Liban, 2009), Nice (France, 2013) et Abidjan (Côte d’Ivoire, 2017), c’est la ville de Kinshasa de la République Démocratique du Congo qui accueillera en 2022 les meilleurs jeunes talents artistes et sportifs francophones lors des IXe Jeux de la Francophonie.
Cette fonction de base-arrière pourrait permettre d’attirer des délégations de talents sportifs et créatifs de toute la Francophonie et leur faire découvrir les atouts de l’Indianocéanie.

A ce titre, trois axes futuristes pourraient promouvoir un étendard Indianocéanique en direction du rayonnement des îles pour les prochains Jeux de la Francophonie :
1/ Hisser l’Indianocéanie en « Davos de la croissance bleue »
(nautisme du futur, valorisation de nouvelles ressources liées à la mer, biotechnologies marines orientées vers la médecine du sport et du handicap…)
2/ Agir sur notre rôle stratégique de Babylone de l’agroalimentaire et du consommer autrement
(nutrition santé et circuits courts, stockage de l’énergie, approche événementielle zéro déchet, renouer avec la devise : Nourrir la planète, Énergie pour la vie, …)
3/ Positionner notre avenir maritime en étoile montante de la diplomatie des deux rives
(dialogue interculturel et religieux, maillage des échanges, hub culturel avec les influences du Golfe, de l’Afrique et de l’Asie).
Kevin Lognoné pour INCODEV.
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